« Il y a des dessins de patience »
Il y a des dessins de patience, de ceux qui bruissent d’une multitude de lignes et de traits méticuleux.
Les surfaces se parent de motifs, de détails d’une vie organique, des vestiges d’un cosmos.
Au creux des interstices, le dessin se fait plus dense.
Le regard s’aiguise alors dans un va-et-vient entre le détail infime et les étendues qui se combinent et dialoguent entre elles.